La discipline régulière


La discipline régulière et le dressage à ne jouir que sur votre ordre


Même en l’absence de faute, il faut discipliner votre mari régulièrement pour entretenir les progrès, affirmer votre domination, entériner sa soumission. Une fois par mois est certainement une bonne fréquence.

A la maison, j'ai obligatoirement droit à une session de discipline tous les samedis soir de début de mois pour me dresser à ne jamais jouir sans autorisation. Au programme, après avoir apporté moi-même tous les fouets de la maison et mettre déculotté avec la queue exigée bien raide une fois la cage de chasteté enlevée par ma femme, je dois me branler et juste avant de jouir (et surtout pas avant !) je dois demander à recevoir le fouet sévèrement appliqué et copieusement servi immédiatement pour me faire débander et passer vite fait l'envie de jouir. 


Après la volée, ma femme exige de bander à nouveau pour recommencer à me branler pour avoir le plaisir de me fouetter à nouveau, ceci jusqu'à ce que j'ai les cuisses et les fesses bien marquées au sang par le fouet (c'est ce résultat visible là qui compte toujours vraiment pour elle pour mettre fin à la séance !). Après la dernière session de fouet, j'ai droit en prime au printemps et en été à une bonne session d'orties sur le sexe, puis je replace ma cage de chasteté jusqu'à la prochaine session et je dois la remercier en baisant le fouet et en lui léchant activement la fente si elle l'exige. 

Ci-dessous, un peu de martinet ne peut qu'aider votre mari à comprendre ce que vous attendez de lui:

D'autres fois si je n'ai commis aucune faute grave au cours du mois, j'ai droit à une double session de milking ruiné de tout orgasme immédiatement suivie du sexe passé aux orties brûlantes avant d'être "remballé".

En pratiquant ainsi, la discipline ne vise alors pas à punir mais à entretenir votre maîtrise physique et psychologique sur votre mari et le conditionner toujours davantage à ne jouir jamais ou toujours sur votre ordre. C’est aussi l’occasion idéale de tester de nouveaux fouets !




Par la discipline mensuelle vous devez l’entrainer et l’éduquer à ne pas jouir sans votre autorisation pour le rendre encore plus dépendant de vous. Le sevrage de tout orgasme durant des mois va rendre votre mari fou-dépendant et le mettre littéralement à vos pieds pour espérer votre sollicitude et mansuétude que bien sûr vous lui refuserez.


Commencez par l’exciter et le branler suffisamment pour qu’il espère jouir mais cessez bien avant. Donnez lui le fouet copieusement pour lui faire passer l’envie de jouir et le faire débander, puis reprenez une bonne masturbation. 







Refouettez encore qu’il associe bien la discipline corporelle à son plaisir sexuel. Renouvelez à volonté. 




Rappelez lui qu’il va peut-être bientôt jouir cette fois si vous l’autorisez. Surtout à chaque fois dès que vous pressentez qu’il va bientôt venir cessez toute masturbation bien avant pour ruiner tout espoir d’orgasme. Terminez toujours la séance par une session de fouet pour le faire débander. Pour finir de le calmer, "emballez" ses parties dans un pochon empli de glaçons et laissez le mijoter à froid une bonne demi-heure.




Faites vous remercier pour le fouet et la masturbation à la fin comme toujours.



Au fil des mois, cette longue et une bonne éducation au fouet de sa masturbation sans jamais aucun orgasme va dresser votre mari à dissocier sa queue de toute jouissance pour n'en faire qu'un instrument au service de votre seul plaisir et l'éduquer à ne jouir que sur votre ordre. N'hésitez surtout pas à bien branler votre mari et à lui apporter beaucoup de plaisir mais sans jamais jouir, les sessions de fouet servant à dompter et ruiner son besoin de jouissance en affirmant votre suprématie absolue sur son plaisir personnel dénué d'orgasme inutile.


THE RUINED MILKING :

Néanmoins, pratiquez - comme un rendez-vous de plaisir contrarié qu’il doit attendre et cette fois sans le fouet à la main -, entre une fois par mois maximum et six semaines, ou moins souvent encore s’il n’a pas été obéissant au cours de la période, à un milking de votre mari, de sorte à le libérer de partie de l’accumulation de semence, en seule considération de besoins physiologiques. Mais il ne s’agit bien sûr pas de lui offrir un bel orgasme !  

Au contraire, branlez votre mari et ruinez tout espoir d’orgasme en cessant la masturbation avant même qu’il n’éjacule ! Patientez quelques minutes et renouvelez plusieurs fois jusqu’à ce qu’il ne puisse plus résister à éjaculer un peu mais surtout cessez de le branler bien avant qu’il ne vienne !. Il s’agit seulement d’épuiser un peu sa semence sans qu’il n’en ressente aucune jouissance, juste un épanchement qui va lui vider un peu les organes. 

Si jamais il semble avoir joui (ce que vous constaterez notamment par le volume de semence et aussi si il débande tout de suite après)  aller chercher le fouet et faites en bon usage immédiatement !


Voyez dans dans cette vidéo comment le milking sans plaisir est plutôt réussi :



Essayez, vous verrez comment votre mari aura soulagé un peu son trop-plein sans jamais ressentir de jouissance. Ma femme est experte dans ce type de milking que je connais bien ainsi.

Cela est très frustrant pour un homme d’être ainsi ruiné toujours avant un début d’orgasme mais très efficace pour lui faire comprendre que son plaisir ne doit dépendre que de votre bon vouloir. Avec le temps vous conditionnez ainsi votre mari toujours davantage, c’est le but absolument recherché.

Pensez aussi qu’une bonne fouettée aux jeunes orties de printemps sur sa queue et surtout sur son gland va fortement l’exciter et peut suffire à le faire éjaculer tout seul, quelquefois 1 ou 2 heures après l’application, en 2 applications espacées d’une demi-heure environ. Attachez-le et mettez lui les menottes dans le dos pour vous garantir qu’il ne se touchera pas. Si bien qu’il ne vous sera pas nécessaire de le branler beaucoup. C’est encore mieux si le travail de milking se fait tout seul ! Essayez !

Pensez aux petits sondages à droite pour renseigner tous les visiteurs. Merci !

9 commentaires:

  1. Je suis en cage (prison de morgan) depuis environ une année Mon épouse (et maîtresse) n'admet que les cunni à raison de deux par jour (en moyenne). Pour me dégager elle ne pratique généralement pas le milking mais me contraint à me masturber, nu et debout devant elle chaque samedi matin (parfois en présence d'une amie) pour éjaculer dans mes mains en prenant garde de ne rien laisser tomber (sous risque d'une raclée). Connaissez-vous d'autres exemples de ce genre ?

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    1. Ma femme me soumet au fouet puis elle et son amie me demande de les faire jouir avec ma langue
      Ensuite une séance de milking mais sans jouissance est patiemment appliquée mains liées derrière le dos
      Ensuite une cage de chasteté est placée et toute la semaine je dois la subir jusqu'au samedi suivant ou rebelotte on recommence

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  2. C'est une bonne discipline régulière. Décrite avec grand art et plaisamment. Bon, bien sûr, pourquoi j'en parle, il faut que le couple soit complice et d'accord. Où n'est-ce qu'une condition non négociable d'une Maîtresse qui n'acceptera de vivre ,que selon ce code, avec l'homme qui cherche, par son mental et ses désirs,précisémment ce style de vie. Il reste une inconnue que j'aurais bien voulu pouvoir lire dans ce traité aguichant au plus haut point, un chapitre consacré à comment "amorcer" une épouse pour qu'elle libère ses instincts refoulés et entreprenne d'assoir son autorité sexuelle de cette façon, mot pour mot, sur son homme quand un couple est en panne.

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  3. Je suis soumis depuis le début de notre mariage. Elle m'a imposé, à peu de choses près, votre enseignement. Cela à été duré au moins 5 ans. De par ma sexualité débridée, j'ai dû renoncer à deux Maîtresses matures. Conséquence, je me masturbait trop en pensant à ces dernières. Ma femme est bi et elle a su bien m'entreprendre. J'ai enduré le fouet à avoir le cul, le dos et les jambes hachées. Mes masturbations ont assez rapidement diminuées en fréquence dès qu'elle usa de me fouetter la queue en érection. Quand je débandais, son amie me suçait et me branlait pour qu'elle puisse recommencer à me fouetter. Elle me plaçait dans une cage pour dormir, main menottées au dos. Elle dormait souvent sur le sofa avec son amie, car elle ne supportait pas son sommeil sans cajoleries féminines, godage et suçage. Elle faisait aussi exprès pour s'exposer à moi sans possibilité de sortir de ma cage. Au début, je me frottait, à genoux, le vit contre une barre. J'en ai ramassé des râclées lorsque je parvenait à jouir de cette façon. Après elle me plaça toujours un cadenas de chasteté. Pendant six mois sans jouir, ma libido diminua pour n'être plus qu'active que lorsqu'elle le désirait. Elle sais réveiller mon instinct basique en se vêtissant ultra sexy. Quand elle apparaît ainsi, je sais ce qui m'attend. Elle a réussit à atteindre "le point mort". C'est dire, au début de ce traitement, quand elle m'enlevait le cadenas, j'avais la qeue immédiatemment bandée et souvent, encore des prémices d'éjaculation. Après ces 5 ans, et ça fait 20 ans que ça dure, je demeure débandé si elle ne m'entreprend pas. Cas contraire très rare, j'ai droit à 150 coups de fouet y compris entre les jambes sur les couilles et par devant, sur la queue une bonne quarantaine de fois. Je hurle et gémis. Quand elle m'offre une pose au milieu du traitement, ça l'a tellement excité de me travailler que je dois la sucer sans bander, ou sur permission. Je peux la regarder faire l'amour avec sa maîtresse qui loge chez nous, en bandant mais sans me toucher. Sur pression de sa maitresse, elle a décrété que sa maitresse pouvait quant elle en a envie, me finir et avaler. Je peux garantir que je ne bande plus que sur permission. Au moindre mouvement de ma queue vers une érection je serais fouetté minimum entre 150 et 200 fois. Au début, je m'évanouissais. Après je suis devenu plus résistant. En moyenne, ma femme me permet une jouissance chaque 3 semaines. Si je suis 6 semaines en cage, c'est arrivé,elle me gode le cul, la queue cadenassée et m'humilie avec plein de sarcasmes érotiques. Quand on sort , c'est toujours avecson fouet dans son sac à main.Au moindre soupçon que je bande, elle vérifie toujours en me palpant l'entre-jambes, j'ai droit immédiatement à une sévère correction. Depuis que j'ai voulu la quitter, pour me garder, elle a fait quelques concessions. Chaque semaine je peux m'amuser avec ses gros seins bien pleins et sucer ses longs tétons qu'elle se fait entretenir par pompe vaccum par sa maitresse. Puis sa maitresse s'occupe de m'exciter en me masturbant ou en me suçant. (jouissance interdite) Une fois la queue bien dure et droite, j'ai la permission d'utiliser unmaximumde fois pendant une demi-heure, ses 3 orifices avec décharges libres. Je dois chaque jour consigner mes ressentis dans un livre sous peine de cruelles punitions. Chaque relatation je dois la signer d'un "j'aime ma femme".

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  4. BONJOUR LES GARS JE SUIS POUR UNE CERTAINE DISCIPLINE MÊME AU FOUET MAIS DE LA A NE JAMMAIS JOUIR , VOUS PERDEZ DE QUOI A MON AVIS

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  5. BONJOURS LE MONDE PRÉSENTEMENT JE FANTASME SUR UNE FEMME QUI POURRAIS ÊTRE MA DOMINANTRICE PAS FACILE A TROUVER , JE CROIS POUR MA PART AVOIR BESOIN D'UNE FEMME QUI N'A PAS PEUR DE FAIRE L'USAGE DU FOUET POUR SE FAIRE OBÉIR , ET J'AIME L'IDÉE DE LA CRAINDRE MAIS JE DESIRE QUE TOUT CE PASSE DANS L'AMOUR ET DANS LA DISCPLINE , A SES PIED JE DOIS ÊTRE ET LA SASTISFAIRE DE SES PETITS CAPRICES ,

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  6. Bonsoir
    Je suis une femme masochiste, depuis longtemps, je suis dressée, par un couple, je dresse aussi les femmes et les hommes, pour les hommes, j’encage leurs bites, je ne permets pas qu’ils se vident les couilles.
    Je fouette leurs sexes, j’étire leurs couilles, je les flagelle, je punis, les érections, par le fouet, la cravache, la fessée.
    JULIE

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  7. Mon copain m'a parlé de tout cela, c'est dur quand même. Même si cela rend l'homme plus intentionné, ce qui est une bonne chose. Trop c'est trop. cel73@mail.com

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