Les bons effets du fouet pour Madame

Donner le fouet fait du bien à Madame...

Voila comment cela se passe chez moi, peut-être en est-il de même pour vous Madame ce dont j'espère vous témoignerez d'un commentaire :

De l'excitation

Il faut être clair, cela excite beaucoup ma femme de me fouetter. Alors autant dire qu’elle ne se prive pas de mettre en action le martinet de correction sur moi au moindre prétexte puisque cela lui fait du bien.

En général à la maison elle se déshabille du bas et enlève sa culotte pour me corriger. J'ai bien compris que lorsqu'elle commence à se dévêtir ainsi, je vais y avoir droit... parfois sans même deviner ce qu'elle va me reprocher,  puis elle m'ordonne d'aller chercher le fouet "en vitesse" lui offrir pour en faire bon usage aussitôt. 

C'est souvent lorsque la correction commence que je me vois notifier la faute reprochée bien appuyée des sévères cinglements qui ponctuent chaque syllable jusqu'à ce que j'en comprenne le motif...

J’ai aussi bien observé lorsqu’elle me demande de lui lécher la fente pour la remercier d’une raclée donnée à quel point elle est toute mouillée après m’avoir administré une correction… J'ai de bonnes raisons de penser que je n'ai pas fini de recevoir le fouet...

...et si les corrections durent parfois bien trop longtemps par rapport à une petite faute, c’est qu’elle y prend un vrai plaisir à mes dépens...

Dans cette vidéo, voyez comment donner le fouet excite beaucoup cette maîtresse qui ne se retient pas de se masturber jusqu'à lui procurer au finish un bon orgasme :

Encore une bonne correction à la cane qui excite beaucoup la maîtresse qui finit par se caresser tout en fouettant:

Ce qui manifestement excite le plus ma femme:

        - Voir se former les marques du fouet au fur et à mesure de la correction. En général elle ne se prive pas de commenter les résultats qu’elle obtient au fil de la correction. 

Ce qu’elle préfère c’est me zébrer l’intérieur des cuisses jusqu’au sang et je n’y échappe presque jamais avec le martinet de correction de la maison dont les lanières s'enroulent sur mes cuisses avant de me meurtrir ! 

- M’entendre gémir sous le fouet sachant que je n’ai pas le droit de supplier, de me plaindre ou de bouger, elle fouette jusqu’à satiété, et prolonge de 10 coups en 10 coups si je bouge trop ou si je me plains. Les barèmes des corrections ne sont souvent qu'un minimum allègrement dépassable, et jamais rien en dessous d'une danse de cinquante coups de ce martinet de correction que je redoute pour y goûter hélas encore trop souvent encore malgré mon dressage presque terminé.

- Constater et éprouver ma soumission totale : elle fouette de plus en plus fort pour essayer de m’arracher pleurs ou supplications auxquels je suis interdit surtout lorsqu'elle manifeste de la colère contre moi. Je « préfère » les raclées lorsque je suis immobilisé sur le banc de punitions car je suis sûr de ne pas pouvoir bouger, alors que lorsque je ne suis pas contraint, je dois résister à la morsure du fouet sans danser en toutes circonstances

- Admirer les marques laissées par le fouet pour juger de la qualité de la correction administrée tous les jours qui suivent une volée. Elle n'est véritablement satisfaite que des marques les plus sévères laissées au sang et bien boursouflées encore le lendemain même qui signent - selon elle - un travail bien fait et profitable... Elle ne rechigne pas à les compter pour comparer d'une volée à l'autre... Ca l'excite sexuellement vraiment beaucoup de me voir les fesses et les cuisses ruinées par le fouet, elle adore...

Elle « triche » complètement en se plaignant de devoir me corriger pour ma désobéissance comme une charge que je lui impose, alors qu’elle s’excite vraiment de me corriger. Je n’ai bien sûr pas intérêt à lui faire remarquer…

De la satisfaction

Pour elle, la raclée donnée lui apporte une indéniable satisfaction du devoir de la Maîtresse de maison accompli ceci d’autant que je dois exprimer ma reconnaissance pour la correction reçue et des efforts qu’elle fait pour me permettre de m’amender.

Après le fouet, toujours je dois la remercier chaleureusement, embrasser sa main et le fouet et elle attend cela. Cela fait partie de mes obligations et d'un rituel immuable depuis deux ans. Je m'y plie de bonne grâce pour faire plaisir à ma femme et parce que si j'ai été corrigé c'est bien à cause de n'avoir pas respecté une règle du foyer.

Du plaisir pour ma femme

Il n’est pas rare qu’une fois bien fouetté il me faille satisfaire ma femme d'une langue agile mais cela dépend des circonstances et de son humeur.

Les fesses en feu qui me font mal, je dois lui lécher son minou avec application le temps qu’elle le désire et en général elle jouit. Je n’ai jamais le droit de la pénétrer avec ma queue car une correction ne peut-être achevée d’une récompense pour moi. Sûr que le plaisir n'est pas pour moi en pareilles circonstances.

Il m'est même arrivé une fois de reprendre une raclée parce qu'elle considérait qu'elle avait été mal servie. Je peux vous dire que j'essaie de m'appliquer pour qu'elle soit satisfaite depuis cette mésaventure inattendue et je crains maintenant chaque fois si elle n'a pas joui !

Ensuite, je dois disparaître... avec l'espoir qu'elle ne sera pas contrariée de sitôt d'une désobéissance de ma part et le fouet retrouve sa place habituelle jusqu'à la prochaine raclée...

Le paradoxe total est que ma femme prend du plaisir à me fouetter, est remerciée par moi et jouit sous ma langue ce qui en fait somme toute un agréable moment pour elle qui ne peut que l'encourager à (re)chercher ou prétexter la prochaine occasion de me corriger alors que je fais le maximum d'efforts pour être impeccable à la maison et la satisfaire. Non pas qu'elle soit injuste, mais fortement encouragée à ne rien laisser passer voire à considérer un comportement anodin ou une petite faiblesse de ma part comme nécessitant d'être puni.

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Il est maintenant a peu près certain que même devenu un jour un mari parfait ou presque parfait, je recevrai des raclées de temps à autre pour le bonheur pris par ma femme de me corriger au prétexte de la moindre faute. Il demeure que l'enjeu pour moi est de tout faire pour en limiter la fréquence, je n'ai pas d'autre choix et c'est en cela que le programme de dressage est à la fois redoutablement efficace et jamais achevé...

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