Madame, comment démarrer le dressage ?


Madame, comment démarrer le dressage de votre mari ?

Beaucoup de femmes, j’imagine, aimeraient pouvoir démarrer le dressage de leur mari mais comment débuter et faire consentir votre mari à sa rééducation ?

A la base, en supposant votre volonté définitivement établie et infaillible, il faut parvenir à l’adhésion (consentement) de votre mari au programme. Si votre homme y agréé par nature, autant dire que l’affaire est déjà gagnée. Si par contre vous ne savez comment initier, je vous recommande de prendre votre mari en faute pour pouvoir lui faire accepter sa première correction comme meilleure solution plutôt qu’à la fâcherie, rancune ou autre attitude. 

« Bien fouetté, tout de suite pardonné » et « Bien fouetté, plaisir mérité » serviront de mot d’ordre pour initier le dressage les premiers temps.



Le prendre en faute : Pour vous aider à démarrer, sachez qu’un homme aime à se masturber, et naturellement il y procède dès que vous avez le dos tourné. Prenez le sur le fait ! 

Surveillez son ordinateur, d’excellents logiciels (comme keylogger) permettent de connaître exactement l’activité d’un PC et d’en être avertie par mail, et vous saurez où et quand votre mari consulte des sites pornographiques pour se masturber. Une fois pris en flagrant délit, vous aurez toute facilité pour le punir et lui offrirez la correction comme solution immédiate. Si vous êtes suffisamment ferme, il acceptera d’autant qu’une correction peut être suivie – si vous le souhaitez- d’une récompense sexuelle pour docilité au moins les premiers temps du dressage. D’où l’importance d’être équipée des matériels de correction le jour où cela se produit !

La petite récompense sexuelle dans les premiers temps du dressage associe la punition au plaisir ce qui ne peut que favoriser l’adhésion de votre mari au nouveau régime. 


Toutefois, une récompense ne signifie pas que vous deviez faire jouir votre mari ! Au contraire, commencez de suite par le sevrer d'orgasme !. Naturellement, après cette première période d’initiation et d’adhésion, il y aura lieu de corriger la faute sans plus jamais devoir récompenser.

Dans mon cas, comme expliqué ci-dessous, c'est le chantage au divorce avec des conséquences désastreuses prévisibles qui m'a fait consentir le dressage comme alternative suite à mon infidélité découverte.

Nul doute que vous trouverez ou provoquerez l'occasion d'assujettir votre mari à un choix cornélien pour le faire adhérer à votre programme de soumission à la condition expresse et absolue que vous soyez vous-même définitivement décidée à devenir la Maîtresse de la maison sans état d'âme ou considérations inutiles.


Comment cela a commencé pour moi

De mon Infidélité au dressage : récit de mon aventure depuis février 2012


Peu de temps avant d’être dressé par mon épouse (ce que je vais vous raconter), j’avais une maitresse (au sens classique du terme…) à l’étranger que j'entretenais depuis plusieurs mois avec qui je me trouvais début 2012, qui savait très bien qu’un homme ne devait pas jouir souvent pour demeurer charmant et sexuellement vaillant

Durant un mois, j’ai été branlé 2 à 3 fois par jour, autant à ma requête que de son initiative sous l’effet d’une excitation quasi-incessante mais jamais je n’ai eu le privilège de jouir en ce mois mémorable, car toujours la masturbation s’arrêtait, très vite après avoir commencé, ou juste avant de jouir. J’ai fait l’amour presque tous les jours à ma maîtresse qui a beaucoup joui sur ma queue (elle atteint toujours l’orgasme très très rapidement après la pénétration et à chaque fois, d’ailleurs quel bonheur pour elle !), mais je devais toujours me retirer de suite après son orgasme car pour elle l’affaire était finie!. Ma queue était surchauffée en permanence, raide du matin au soir ou presque, toujours vaillante à espérer, mais déjà conditionnée à ne jamais jouir tout en espérant toujours…. Bref, je suis rentré en France sans jamais avoir joui et me suis d’ailleurs branlé deux fois dans l’avion de retour. 

Ainsi en un seul mois, les premiers effets de ce sevrage commençaient à faire effet : Je savais qu’on pouvait être un bon amant sans jamais atteindre l’orgasme et même en devenir fier pour les bienfaits d’une belle queue bien raide toujours en manque et toujours disponible pour ma partenaire.

De retour en France au foyer après mon prétendu voyage professionnel d’un mois, c’est là que les choses ont basculé au foyer conjugal:

Sitôt arrivé, j’ai eu la désagréable surprise de découvrir sur le lit conjugal une longue et fine cravache d'équitation et de belles badines fraichement cueillies au jardin que ma femme avait préparé à mon attention comme cadeau de retour. 

Ni une ni deux, sitôt mes bagages posés, elle m’a fait me déculotter et prendre position sur le lit les fesses bien tendues. Ma femme m’a simplement annoncé sans appel et sans discuter plus que « j’allais être fouetté comme jamais pour ce que j'avais fait», ce sont les mots qu’elle a utilisés. 




Armé d’une badine épaisse et très souple de forsythia, je l’ai entendu siffler plusieurs fois dans mon dos comme pour la tester à l’air avant de m’appliquer une volée à toute vitesse. Ma femme avait appris que je l’avais trompée durant mon séjour, quelqu’un lui avait rapporté depuis l’étranger. J’ai reçu une correction qui n’en finissait pas, fouetté jusqu’au sang sur les fesses et les cuisses par diverses badines puis cette cravache toute neuve. Je n’ai qu’à peine pu dormir cette nuit là tellement ma peau me brûlait. La cravache qui avait bien servi aussi sur le devant de mes cuisses et n’avait pas épargné ma queue (ma femme disait que c’était pour que ma queue s’en souvienne bien – je confirme !), a depuis trouvé sa place pendue dans l'armoire de la chambre, et elle y est toujours.




Le lendemain matin, ma femme m’a proposé un marché : ma reprise en mains par le dressage ou le divorce. Totalement coincé (impossible d'imaginer un divorce pour les conséquences désastreuses sur notre propriété foncière support de mon métier d'agriculteur), j’ai dû choisir le dressage et ait donné mon consentement sans rien savoir de ce qui m’attendait.

Aussitôt dit, j’ai reçu une commande immédiate de ma femme : confectionner un martinet de correction avec du fil électrique souple. J’ai acheté dans la journée un martinet de bazar vite dépouillé des lanières insignifiantes et y ait installé « mes » lanières souples à la place de 60 cm de long. Le soir même, la séance de dressage commençait avec l’inauguration du plus que redoutable martinet très fonctionnel « Monsieur Plus » qui allait régner en maître au foyer pour toujours avec son frère jumeau plus tard à la cuisine !

Tout d’abord il me fut notifié que ma queue ne pouvait guère espérer profiter avant longtemps et que j’allais chèrement payer mon infidélité. Mais avant de parler d’abstinence sexuelle il fallait commencer par encore me punir. 


Mis en position, j’ai goûté au martinet tout neuf et j’ai dégusté.... Mes fesses et mes cuisses étaient encore très sensibles et "labourées" de la raclée de la veille. Les premiers coups de martinet déjà appliqués avec force et à vive allure ont été extrêmement douloureux. Jambes bien écartées, le fouet a abondamment lacéré l’intérieur de mes cuisses épargné de la veille en s’enlaçant autour pour finir sur la peau fine et sensible de l’intérieur des cuisses tout en s’accélérant ainsi de ce mouvement d’enveloppement. J’ai reçu cent trente coups de martinet comptés à voix haute par ma femme, assénés très sèchement et très sévèrement mais à un rythme ensuite assez lent pour bien « déguster » disait-elle. A chaque coup je gémissais et j’entendais ma femme me donner l’ordre de garder la position sans bouger au risque d’allonger la correction (ce qui fut le cas, puisque prévue de 100 coups au début) et de m’expliquer qu’à partir de maintenant il en serait ainsi chaque fois qu’il y aurait un travers.

Effectivement, il y a eu beaucoup de travers à corriger depuis ! J’ai goûté ce redoutable fouet « qui fait danser » d’innombrables fois et chaque fois dans l’espérance qu’il ne servirait plus de sitôt tant j’ai du souffrir de corrections insoutenables

Je reconnais humblement que ce martinet m’a fait supplier (au début) d’arrêter la correction (qui alors s’accélérait et s’allongeait de 10 coups en 10, j’ai vite compris qu’il fallait me taire !) et vraiment pleurer de douleur. Mes fesses et mes cuisses sont chaque fois marquées au sang et toute enrubannées pour presque un mois ( !)  des longues marques des lanières très efficaces. Les lendemains de raclée je ne pouvais à peine m’habiller et m’asseoir tellement mes fesses et cuisses me brûlaient et me piquaient. Je vous garantis que cela fait beaucoup réfléchir et vite progresser : L’effet du fouet n’a pas d’équivalent pour dompter un mari et il faut bien reconnaître que j’ai très vite appris à devenir un doux agneau très consentant et servile, ce qui n’est pas du tout ma nature. Le bal du fouet était ouvert pour de nombreuses danses à venir !

La prise en mains du dressage a été très vigoureuse le premier mois de mon retour… Il n’y avait plus guère d’échanges avec ma femme, et sous le moindre prétexte j’étais fouetté, c'est le martinet de correction qui parlait ! 


L’ambiance était très froide et tendue et au moindre mot ou comportement jugé inopportun, j’étais ordonné d’aller chercher le martinet infernal. Je ne saurais vous décrire l’effet psychologique et physique réducteur et dévastateur que représente l’instant d’aller chercher « son fouet » pour l’apporter à sa maîtresse qui en moins d’une minute va convertir une promesse en une réalité très cuisante. On est réduit comme à l’état de petit garçon sans défense en anticipant la raclée certaine et garantie. L’effet de soumission est maximal et on le ressent dans ses tripes, dans son sexe comme l’effet d’une grosse peur qui s’éternise. Je crois pouvoir dire que cet instant est bien plus efficace avant la correction pour anéantir son homme qu’à l’issue de la punition qui vient comme un soulagement par la fin. 

Madame, lorsque vous allez fouetter votre mari comme moi je le suis, exploitez pleinement cet instant de l’avant pour transformer votre homme en une petite chose insignifiante anticipant les morsures du fouet promises que vous allez lui servir incessamment. 


Bref, depuis un an maintenant ce martinet à beaucoup servi mais il n’est toujours pas fatigué de son usage un temps intensif. C’est un instrument culte au foyer ! L’amortissement de la dépense de moins de 15 euros est maximal, c’est « l’outil » du dressage par excellence qui inspire le respect et que j’évite du regard tant il en inspire des choses douloureuses à mes fesses… Pour avouer également l’effet produit, la seule vue du fouet ainsi pendu me glace littéralement en m’envahissant d’un frisson de froid jusqu’au bout de ma queue et de mes boules qui se contractent involontairement ! Un an passé et il est toujours pendu dans l'armoire de la chambre (et son petit frère jumeau au mur de la cuisine), à côté de la cravache, toujours prêt à être « dégainé » et emporté partout. Croyez moi, je fais tout pour éviter les corrections, qui heureusement maintenant son devenues plus rares tant mon comportement s’est amélioré vis-à-vis de ma femme.

Mais la panoplie d’instruments s’est rapidement élargie pour mon dressage. A commencer par l’achat d’une cage de chasteté dès le premier week-end de mon retour. Ma queue a été bouclée pour 3 mois, pour commencer… puis est venu la semaine suivante le banc d’immobilisation pour corrections (fait de deux établis pliables lestés de poids avec des sangles d’attache que j’ai dû confectionner) pour mettre fin à la danse de mes fesses sous l’effet du fouet de sorte que ma femme réussisse parfaitement à atteindre tous les endroits voulus. Bien équipé, le sevrage total d’orgasme pouvait commencer à la sauce piquante des séances de fouet innombrables.

Il faut être clair quant à l’efficacité de la méthode de dressage et de punition dans mon cas d’infidélité: être interdit de jouir des mois durant comme définitivement, ne même pas pouvoir se toucher la queue à cause de la cage de chasteté et être fouetté en veux-tu en-voilà pour des peccadilles de comportement jugées fautif provoque chez le mari une mutation rapide de comportement au foyer en développant qu’on l’accepte ou non une humble attitude de soumission

Sous la pression montante d’un besoin sexuel totalement insatisfait tout le temps du sevrage et surtout de la peur du fouet omniprésente dont les lanières pleuvent comme lors d’un vilain automne, le mari ainsi éduqué se jette littéralement aux pieds de sa maîtresse pour implorer son indulgence et son pardon, qui naturellement n’est jamais venu dans mon cas et manifester ainsi toute sa soumission.

Que dire aussi du fait de devoir remercier à l’issue de chaque séance avec conviction la main qui a si sévèrement fouetté et de baiser le fouet dont le pouvoir ne faiblit pas d’une fois à l’autre sinon que cela entérine la soumission comme une chose définitivement acceptée par la victime qui ne pourra plus être remise en cause par la suite. 

Remercier d’avoir été battu, embrasser le fouet pour ses bons services est une étape clé sans cesse renouvelée du dressage et la marque d’une reconnaissance du soumis aux bienfaits de son programme.


Pensez aux petits sondages à droite pour renseigner tous les visiteurs. Merci !

11 commentaires:

  1. wanda.strass@yahoo.com
    et non pas .fr

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  2. Bientôt c est mon tour à être dressé par une maîtresse

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    1. as-tu subi ton premier dressage? quels instruments ont été utilisés? as-tu des traces? Je vais bientôt y passer et tout en étant excité à l'idée de devoir me soumettre, j'appréhende.

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  3. Joli blog... Un peu répétitif, mais c'est toujours le cas avec les fantasmes...

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  4. tout ceci est très beau, cela fais un ans que ma compagne me fouette au martinet, et j,attend chaque séance avec impatience
    a chaque fois je lis dans ces yeux un énormes plaisir et elle même m'avoue ne plus pouvoir sans passer j,aime voir son plaisir
    car je l'aime Alain

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  5. tout ceci est très beau, cela fais un ans que ma compagne me fouette au martinet, et j,attend chaque séance avec impatience
    a chaque fois je lis dans ces yeux un énormes plaisir et elle même m'avoue ne plus pouvoir sans passer j,aime voir son plaisir
    car je l'aime Alain

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  6. tout ceci est très beau, cela fais un ans que ma compagne me fouette au martinet, et j,attend chaque séance avec impatience
    a chaque fois je lis dans ces yeux un énormes plaisir et elle même m'avoue ne plus pouvoir sans passer j,aime voir son plaisir
    car je l'aime Alain

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    1. moi aussi ma compagne me fouette au martinet, suite aux révélations de ma sœur ainée sur mon début d'ado, moment ou la fessée et le martinet sont passés de redoutés à souhaités ,grâce à la soeur ainée de sa copine qui était une redoutable fesseuse et fouetteuse quand elle nous gardait en l'absence de notre mère;
      et depuis ma compagne exige que je quitte mon pantalon pour porter une minijupe dès mon retour à la maison, "c'est tellement plus facile pour te fouetter!" et nous sommes allés acheter un martinet et j'ai dû dire que c'était pour moi!
      mais voir son plaisir dans son regard dans ces moments là me comble de bonheur ,et je repense avec plaisir aux corrections reçues par la baby sitter de mon ado et j'aime encore plus ma compagne!

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  7. J'ai étais dresser durant une semaine non-stop par ma femme c le divorce ou le dressage pour te rendre complètement soumis

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  8. ma femme me fouette au martinet et a la badine, mais elle recherche une femme qui pourrait l'aider a me corriger de manière plus intense, plus forte appeler au 06 67 64 79 86 pour rendez vous

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