Mes autres punitions en "antipasta"

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Le martinet de correction "Monsieur Plus" est le roi de la maison, le "chéri" fétiche de ma femme qui l'adore pour ses excellents résultats bien visibles. Mais j'ai le privilège de jouir bien souvent de punitions complémentaires qui annoncent et préparent la correction au fouet qui de toutes façons va tomber à la suite !

Soit qu'il s'agit de la fantaisie de ma femme pour me punir davantage d'un mauvais comportement répété ceci pour faire durer ma punition plusieurs heures, soit qu'il s'agit de punition dans l'attente du fouet parce qu'il arrive qu'elle ne puisse me l'administrer de suite et je suis alors condamné bien souvent à un de ces trois types de punitions :

Le pantalon fourré aux orties : une punition à effets étalés

Du printemps à la fin septembre, outre le fait de devoir chaque jour préparer trois petits bouquets d'orties méchantes prêtes à servir, ma femme m'ordonne parfois de garnir un panier de têtes d'orties jeunes bien choisies pour leurs cuisantes propriétés et de lui apporter sitôt mon retour.

La punition peut alors commencer... Une fois retirée ma cage de chasteté, je dois remplir sans gants (ça fait très mal !) mon pantalon d'une bonne vingtaine de têtes d'orties après avoir placé des élastiques juste au dessus des genoux, en prenant bien soin de bien en placer sous mes boules et à bien recouvrir tout mon sexe décalotté. Sitôt ainsi garni, je dois reprendre mes activités habituelles, conduire le tracteur, la voiture, travailler, faire le ménage...

Je peux vous certifier que cette punition est bien profitable ! A chaque mouvement, je ressens les piqûres aléatoires des orties n'importe où et ceci sans limite de temps. De plus les orties ont tendance à descendre ensuite le long des cuisses et à bien les brûler durablement contrairement à une fessée aux orties dont les effets ne durent pas plus d'une heure.

Après trente minutes à une heure de ce premier bain, je dois renouveler sous son contrôle les orties entièrement et recommencer, pour bien réactiver la punition... ma femme pense à tout !

Je peux vous garantir que la peau fine de l'intérieur des cuisses devient insupportablement sensible et totalement rouge écarlate, cloquée et enflammée partout par les orties. Cela fait très mal car tout frottement devient presque insupportable ! Quant à ma queue et mon gland, les voila qui ont presque doublé de diamètre avec ma queue bien raide que prodigue le traitement aux orties !

Que pensez-vous qu'il arrive après cette deuxième application ? : C'est gagné !, une danse au fouet ! 

Je dois enlever toutes les orties et mon pantalon, aller chercher le fouet, me mettre en position pendant que ma femme se déshabille (le plus souvent...) ou du moins enlève sa culotte sous sa jupe et procède à la correction.

Une chose est certaine, sous le fouet, très vite ma queue débande et l'intérieur de mes cuisses reçoit la correction du martinet habituelle renforcée des effets des orties. Les brûlures du fouet prennent le relai avantageusement sur les effets des orties !

Ce que ma femme apprécie dans cette punition c'est son effet durable, avant la raclée, puis la persistance des effets du fouet jusqu'au moins le surlendemain grâce au traitement aux orties. Si ma queue n'y pense plus, l'intérieur de mes cuisses sont hyper-sensibles et me font vraiment mal, au point de devoir marcher en canard !

Le fauteuil et son lit d'orties: une punition instantanée

Les vertus des orties sont là-encore mises à contribution pour une punition instantanée vraiment très douloureuse qui va préparer la correction au fouet qui immanquablement va venir à la suite !

Je dois tout simplement cueillir de belles orties bien jeunes et fraîches et en garnir toute l'assise de mon fauteuil en un lit bien épais. La punition est prête à être dégustée !

Sur ordre de ma femme, je dois enlever mon pantalon, elle me retire la cage de chasteté et je dois m'asseoir doucement mais sans m'arrêter sur ce lit d'orties bien mordantes. 

Cette punition est redoutable et fait très mal : mes cuisses, mes fesses et mes boules sont immédiatement assaillies de centaines de piqûres d'orties au même instant, c'est extrêmement douloureux et me fait pleurer vraiment ! 

Ma femme est au spectacle naturellement et ne se prive pas de bien observer les bons effets sur moi. 

Après deux ou trois minutes une fois remis de ce traitement de choc aux orties, elle m'ordonne de me lever et regarde les résultats, des centaines de cloques partout ! Manifestement, cela la réjouit et je l'ai déjà vu passer sa main entre ses cuisses plus d'une fois !

Evidemment la punition n'est pas finie ! Je dois remplacer et brasser les orties du fauteuil et me replacer dessus et entreprendre mon travail ordinaire sur l'ordinateur jusqu'à ce que ma femme revienne le fouet à la main quelques temps plus tard.

Pire que dans le cas du pantalon fourré, les fesses et les cuisses en feu toutes cloquées des orties reçoivent les lanières du martinet qui viennent faire éclater les cloques les unes après les autres ! Et là, je vous garantis que les effets douloureux de la raclée au fouet vont durer jusqu'au lendemain soir au moins en se combinant avec les irritations des orties sans parler des marques plusieurs semaines !!! 

Interdit de miction: une punition longue durée !

Là il s'agit d'une punition complémentaire qui en général prépare et accompagne le traitement aux orties et qui finit toujours par une sévère correction au fouet !

C'est tout simple mais redoutablement efficace pour me punir : je suis interdit d'uriner après m'avoir obligé à boire beaucoup d'eau et de café tant qu'elle ne me l'a pas autorisé ! Evidemment au bout de deux heures je ne peux plus me retenir !!! 

Je n'ai pas d'autre choix que de supplier ma femme de me permettre d'aller aux toilettes ! Que croyez-vous qu'il advienne ?

Mon sexe et l'intérieur de mes cuisses reçoivent une sévère fessée aux orties avant de me rendre aux toilettes (avec les petits bouquets toujours prêts que je prépare le matin) pour me punir de ne pas avoir suffisamment attendu !. Curieux bénéfice, sous l'effet des orties, je suis un peu apaisé de mon besoin urgent, un petit temps du moins. Et au retour, je reçois une correction au fouet pour punir ma faute comme d'habitude - En hiver, j'échappe aux orties, mais jamais au fouet, cela va sans dire...


Ma femme ne manque pas de ressources pour me dresser et me punir. Elle n'est jamais injuste, au sens où mes punitions viennent toujours d'une faute que j'ai commise par rapport aux prescriptions et aux interdits, mais elle a pris grand goût depuis un an à augmenter ou doubler les punitions de la sorte pour les mêmes fautes que je répète. Comme toujours, il ne tient qu'à moi de devenir un mari parfait bien à ses ordres et je ne suis bien sûr pas puni !